Organes: Lymphomes non hodgkinien - Le promoteur: The Lymphoma Academic Research Organisation (LYSARC)

ETUDE Ro-CHOP : Etude de phase 3, randomisée, multicentrique comparant l’efficacité et la tolérance de l’association de romidepsine et CHOP (Ro-CHOP) à CHOP chez des patients ayant un lymphome T périphérique non préalablement traité. Les lymphomes T périphériques sont des maladies tumorales lymphoïdes qui dérivent des cellules T. C’est un groupe hétérogène représentant 10-15 % des lymphomes non hodgkiniens, soit environ 1300 nouveaux cas par an en France. Malgré leur faible fréquence, ils sont d’une grande diversité. Le traitement repose sur une chimiothérapie de type CHOP (cyclophosphamide, doxorubicine, vincristine et prednisone). Le taux de rémission complète est de 50 % à l’issue de ce traitement. L’objectif de cet essai est de comparer l’efficacité et tolérance de l’association de romidepsine plus CHOP versus CHOP chez des patients ayant un lymphome T périphérique non préalablement traité. Les patients seront répartis de façon aléatoire dans un des 2 groupes suivants : Les patients du premier groupe recevront le traitement CHOP (cyclophosphamide, doxorubicine, vincristine en injections intraveineuses et prednisone par voie orale). Les patients du second groupe recevront le traitement Ro-CHOP (romidepsine administrée en injection intraveineuse au jour 1 et jour 8 en combinaison avec le CHOP). Le traitement CHOP sera administré toutes les 3 semaines jusqu’à 6 cures. ou jusqu’à progression ou intolérance au traitement. Pour déterminer l’efficacité les évaluations suivantes seront faites : - L’évaluation de la tumeur (examen clinique, tests de laboratoire, CT scan (cervical, pelvien, abdominal et thoracique), biopsie de moelle osseuse) sera réalisée avant le début du traitement, après 3 cures de traitement (seul un CT scan sera réalisé) et 4 semaines après la dernière dose administrée. - Une visite clinique pour l’évaluation du suivi sera faite tous les 3 mois pendant la première année, tous les 4 mois pendant la deuxième année et tous les 6 mois par la suite pendant au moins 6 ans. Pour déterminer la tolérance les évaluations suivantes seront faites : - L’examen clinique (incluant les signes vitaux, indice de performance (OMS)) et les tests de laboratoire (incluant numération formule sanguine, biochimie sérique) devront être obtenus avant l’administration du médicament, avant chaque cure de traitement et 4 semaines après la dernière administration du traitement à l’étude. - Un électrocardiogramme sera réalisé pour mesurer l’intervalle QT, au jour 1 de chaque cure de Ro-CHOP, avant la perfusion de romidepsine et si possible après la prémédication antiémétique à l’évaluation de la réponse à la fin du traitement, en cas de problèmes cardiaques, de signes cliniques évoquant des troubles du rythme cardiaque ou en cas de valeurs biologiques anormales pour évaluer la toxicité cardiaque. De plus, la numération formule sanguine sera obtenue aux jours 8, 10 et 14 pour tous les patients.

Essai ouvert aux inclusions

Étude SELINDA : étude de phase 1b non-randomisée visant à évaluer la sécurité d’emploi et l’efficacité préliminaire du sélinexor chez des patients ayant un lymphome de type B récurrent ou réfractaire sous traitement avec DHAOx ou R-GDP. Le lymphome est un cancer du système lymphatique qui conduit à la production anormale des lymphocytes. Ces lymphocytes cancéreux peuvent se diviser plus vite et vivent plus longtemps que les lymphocytes sains. Les cellules du lymphome peuvent être dispersées dans tous les ganglions et les tissus lymphatiques, mais dans le 30-40% de cas le lymphome est localisé au moment du diagnostic. Le traitement se fait souvent par une chimiothérapie et/ou une thérapie ciblée, comme une immunothérapie. Le sélinexor est un inhibiteur de la protéine XPO1 capable de retenir les protéines suppresseurs de tumeurs dans le noyau des cellules, ce qui se traduit par une inhibition de la croissance et la survie des cellules cancéreuses, entraînant leur mort, avec un effet minoritaire sur les cellules saines. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi et l’efficacité préliminaire du sélinexor chez des patients ayant un lymphome de type B récurrent ou réfractaire sous traitement avec DHAOx ou R-GDP. L’étude se déroulera en 2étapes. Lors de la première étape, les patients seront répartis en 2 groupes selon le choix de l’investigateur. Les patients du premier groupe recevront du sélinexor le première et troisième jour des deux premières semaines de chaque cure en association avec une immunochimiothérapie de type R-DHAOx comprenant du rituximab, de la dexaméthasone, de l’oxaliplatineet de la cytarabine. Le traitement sera répétée toutes les 3 semaines jusqu’à 3 cures. Les patients du deuxième groupe recevront du sélinexor le première et troisième jour des deux premières semaines de chaque cure, en association à une immunochimiothérapie de type R-GDP comprenant du rituximab,de la dexaméthasone, de la gemcitabine et du cisplatine. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à 3 cures. Lors de cette première étape, la dose de sélinexor sera progressivement augmentée par groupe de patients afin de déterminer la dose la miaux adaptée à administrer. Lors de deuxième étape de l’étupe, les patients recevront du sélinexor à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la première étape de l’étude. Les patients seront suivis pendant 3 ans.

Essai ouvert aux inclusions

Etude GATA : étude de phase 2 visant à évaluer l’efficacité et la sécurité de la combinaison d’atézolizumab avec du vénétoclax et de l’obinutuzumab chez des patients ayant un lymphome non hodgkinien en rechute ou réfractaire. Les lymphomes non hodgkiniens sont un groupe de cancers du sang qui ont une caractéristique commune, ils se développent à l’intérieur des lymphocytes, des cellules immunitaires dont le but est de défendre notre organisme vis-à-vis des maladies et infections. L’objectif du traitement sera de détruire toutes les cellules cancéreuses et d’obtenir une rémission complète du patient. Dans certains cas, le lymphome est réfractaire (cellules cancéreuses encore présentes après traitement), ou le patient peut être en rechute (retour de cellules cancéreuses après une rémission). Différents traitements existent pour traiter ce type de lymphome tels que l’immunothérapie avec l’utilisation d’anticorps qui stimulent les défenses immunitaires de l’organisme et la chimiothérapie qui vise à détruire les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’activité combinée de 3 médicaments déjà commercialisés : l’atézolizumab, le vénétoclax et l’obinutuzumab sur 3 groupes de patients ayant 3 types différents de lymphomes non hodgkiniens (lymphome folliculaire, lymphome B diffus à grandes cellules et autres lymphomes indolents) étant tous en rechute ou réfractaires à un traitement précédent. Les patients seront répartis au sein de leur groupe respectif en fonction de leur pathologie. Les patients recevront de l’obinutuzumab en perfusion intraveineuse (IV) le 1er, 8ème et 15ème jour lors de la 1ère cure puis le 1er jour de la 2ème à la 8ème cure toutes les 3 semaines, de l’atézolizumab en perfusion IV le 2ème jour de chaque cure pendant 18 mois et du vénétoclax par voie orale à partir du 8ème jour de la 1ère cure pour une période totale de 18 mois. Des examens cliniques, scanner abdominal et thoracique, tomodensitométrie, examen de moelle osseuse seront effectués à l’inclusion, après 4, 8 et 16 cures de traitement et en fin de traitement ou à l’arrêt prématuré du traitement. Les patients seront suivis tous les 3 mois pendant les deux premières années puis tous les 6 mois.

Essai ouvert aux inclusions

Etude PIVeR : étude de phase 2 évaluant l’efficacité de la pixantrone chez des patients traités par du rituximab, de l’ifosfamide et de l’étoposide et ayant un lymphome non hodgkinien B agressif, CD20 positif, réfractaire ou en rechute. Le lymphome non hodgkinien B est un cancer qui prend naissance dans les lymphocytes de type B qui sont des cellules du système immunitaire dont le but est de défendre l’organisme contre les maladies et infections. L’objectif du traitement sera de détruire toutes les cellules cancéreuses et d’obtenir une rémission complète du patient. Il est possible après traitement que les patients possèdent encore des cellules du lymphome dans la moelle osseuse, le lymphome est donc dit « réfractaire ». Certains patients peuvent voir aussi un retour des cellules du lymphome dans la moelle osseuse après une rémission, c’est ce qu’on appelle être en rechute. La pixantrone est un médicament anticancéreux qui a récemment obtenu une autorisation de mise sur le marché (AMM) avec un faible intérêt clinique lorsqu’il est utilisé seul. Aucune étude clinique n’a encore démonté son intérêt lorsqu’il est associé à une chimiothérapie standard. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité de la pixantrone associée au rituximab, à l’ifosfamide et à l’étoposide. Les patients recevront de la pixantrone en perfusion intraveineuse (IV) le 1er jour, du rituximab en perfusion IV le 1er jour, de l’ifosfamide en perfusion IV du 1er au 3ème jour et de l’étoposide en perfusion IV du 1er au 3ème jour de chaque cure. Ce traitement sera répété pendant 2 cures de 21 jours. En cas d’efficacité du traitement suite aux 2 cures, les patients qui le pourront recevront une autogreffe de cellules souches. Il s’agit d’une intervention qui vise à remplacer les cellules malades par les cellules saines provenant du patient lui-même. En cas d’efficacité du traitement suite aux 2 cures mais d’impossibilité de réaliser uneautogreffe, les patients recevront 4 cures de traitement supplémentaires. Un bilan d’imagerie par tomodensitométrie sera réalisé avant le traitement, après 2 cures et à la fin du traitement. La fonction cardiaque sera évaluée par échocardiographie et électrocardiogramme après 2 et 4 cures et à la fin du traitement. Les patients seront suivis pendant 3 ans et demi selon les procédures habituelles du centre.

Essai ouvert aux inclusions

Etude ENTO-R-CHOP : étude de phase 1b-2 visant à évaluer la sécurité et l’efficacité de l’entospletinib chez des patients ayant un lymphome diffus à grandes cellules B nouvellement diagnostiqué avec un index pronostic international ajusté à l’âge IPIaa ≥ 1 et traités par une chimiothérapie standard R-CHOP (rituximab, cyclophosphamide, doxorubicine, vincristine et prednisone). [essai clos aux inclusions] Le lymphome diffus à grandes cellules B (DLBCL) est le sous-type le plus commun des lymphomes non-hodgkiniens qui sont des cancers du sang. Le traitement standard du DLBCL chez les patients âgés de plus de 60 ans consiste en une chimiothérapie (médicaments anticancéreux) associant le rituximab avec la doxorubicine, le cyclophosphamide, la vincristine et la prednisone : protocole de chimiothérapie R-CHOP. L’entospletinib est un nouveau médicament anticancéreux qui a montré son efficacité et une bonne tolérance chez des patients ayant un autre cancer du sang. Une étude clinique a montré une action synergique entre la chimiothérapie standard R-CHOP et l’entospletinib avec notamment la vincristine qui potentialise l’effet thérapeutique de l’entospletinib. L’objectif de cette étude est de déterminer dans un premier temps la dose efficace et tolérée d’entospletinib puis dans un deuxième temps son efficacité à la dose recommandée chez des patients âgés de 60 à 80 ans ayant un DLBCL et traités par R-CHOP. L’étude sera réalisée en 2 phases : - Lors de 1ère phase, les patients recevront de l’entospletinib par voie orale (PO) 2 fois par jour, à jeun, du 1er au 7ème jour et du R-CHOP en perfusion intraveineuse (IV) le 1er jour de chaque cure (la prednisone sera administrée en perfusion IV ou PO du 1er au 5ème jour de la cure). Ce traitement sera répété pendant 8 cures de 21 jours ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Un examen clinique sera réalisé le 1er et 8ème jour pour la 1ère cure et le 1er jour pour les cures suivantes. Des prélèvements sanguins seront effectués le 1er, 8ème et 15ème jour pour la 1ère cure et le 1er jour pour les cures suivantes. D’autres prélèvements seront à prévoir lors de l’étude pour des analyses complémentaires. - Lors de la 2ème phase, les patients recevront de l’entospletinib PO 2 fois par jour, à jeun, du 1er au 7ème jour de la cure à la dose recommandée établie lors de la 1ère phase, et du R-CHOP en perfusion IV le 1er jour de chaque cure selon les mêmes modalités que lors de la 1ère phase. Ce traitement sera répété pendant 8 cures de 21 jours ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Un examen clinique, des prélèvements sanguins, un scanner, une biopsie de la moelle osseuse seront effectués à la sélection. Des prélèvements sanguins et un examen clinique seront réalisés après la 4ème et 8ème cure (avec un scanner en plus après la 8ème cure). Les patients seront suivis sur une année après la dernière prise de traitement.

Essai clos aux inclusions

Etude ENTO-R-CHOP : étude de phase 1b-2 visant à évaluer la sécurité et l’efficacité de l’entospletinib chez des patients ayant un lymphome diffus à grandes cellules B nouvellement diagnostiqué avec un index pronostic international ajusté à l’âge IPIaa ≥ 1 et traités par une chimiothérapie standard R-CHOP (rituximab, cyclophosphamide, doxorubicine, vincristine et prednisone). Le lymphome diffus à grandes cellules B (DLBCL) est le sous-type le plus commun des lymphomes non-hodgkiniens qui sont des cancers du sang. Le traitement standard du DLBCL chez les patients âgés de plus de 60 ans consiste en une chimiothérapie (médicaments anticancéreux) associant le rituximab avec la doxorubicine, le cyclophosphamide, la vincristine et la prednisone : protocole de chimiothérapie R-CHOP. L’entospletinib est un nouveau médicament anticancéreux qui a montré son efficacité et une bonne tolérance chez des patients ayant un autre cancer du sang. Une étude clinique a montré une action synergique entre la chimiothérapie standard R-CHOP et l’entospletinib avec notamment la vincristine qui potentialise l’effet thérapeutique de l’entospletinib. L’objectif de cette étude est de déterminer dans un premier temps la dose efficace et tolérée d’entospletinib puis dans un deuxième temps son efficacité à la dose recommandée chez des patients âgés de 60 à 80 ans ayant un DLBCL et traités par R-CHOP. L’étude sera réalisée en 2 phases : - Lors de 1ère phase, les patients recevront de l’entospletinib par voie orale (PO) 2 fois par jour, à jeun, du 1er au 7ème jour et du R-CHOP en perfusion intraveineuse (IV) le 1er jour de chaque cure (la prednisone sera administrée en perfusion IV ou PO du 1er au 5ème jour de la cure). Ce traitement sera répété pendant 8 cures de 21 jours ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Un examen clinique sera réalisé le 1er et 8ème jour pour la 1ère cure et le 1er jour pour les cures suivantes. Des prélèvements sanguins seront effectués le 1er, 8ème et 15ème jour pour la 1ère cure et le 1er jour pour les cures suivantes. D’autres prélèvements seront à prévoir lors de l’étude pour des analyses complémentaires. - Lors de la 2ème phase, les patients recevront de l’entospletinib PO 2 fois par jour, à jeun, du 1er au 7ème jour de la cure à la dose recommandée établie lors de la 1ère phase, et du R-CHOP en perfusion IV le 1er jour de chaque cure selon les mêmes modalités que lors de la 1ère phase. Ce traitement sera répété pendant 8 cures de 21 jours ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Un examen clinique, des prélèvements sanguins, un scanner, une biopsie de la moelle osseuse seront effectués à la sélection. Des prélèvements sanguins et un examen clinique seront réalisés après la 4ème et 8ème cure (avec un scanner en plus après la 8ème cure). Les patients seront suivis sur une année après la dernière prise de traitement.

Essai ouvert aux inclusions

ETUDE Ro-CHOP : Etude de phase 3, randomisée, multicentrique comparant l’efficacité et la tolérance de l’association de romidepsine et CHOP (Ro-CHOP) à CHOP chez des patients ayant un lymphome T périphérique non préalablement traité. [essai clos aux inclusions] Les lymphomes T périphériques sont des maladies tumorales lymphoïdes qui dérivent des cellules T. C’est un groupe hétérogène représentant 10-15 % des lymphomes non hodgkiniens, soit environ 1300 nouveaux cas par an en France. Malgré leur faible fréquence, ils sont d’une grande diversité. Le traitement repose sur une chimiothérapie de type CHOP (cyclophosphamide, doxorubicine, vincristine et prednisone). Le taux de rémission complète est de 50 % à l’issue de ce traitement. L’objectif de cet essai est de comparer l’efficacité et tolérance de l’association de romidepsine plus CHOP versus CHOP chez des patients ayant un lymphome T périphérique non préalablement traité. Les patients seront répartis de façon aléatoire dans un des 2 groupes suivants : Les patients du premier groupe recevront le traitement CHOP (cyclophosphamide, doxorubicine, vincristine en injections intraveineuses et prednisone par voie orale). Les patients du second groupe recevront le traitement Ro-CHOP (romidepsine administrée en injection intraveineuse au jour 1 et jour 8 en combinaison avec le CHOP). Le traitement CHOP sera administré toutes les 3 semaines jusqu’à 6 cures. ou jusqu’à progression ou intolérance au traitement. Pour déterminer l’efficacité les évaluations suivantes seront faites : - L’évaluation de la tumeur (examen clinique, tests de laboratoire, CT scan (cervical, pelvien, abdominal et thoracique), biopsie de moelle osseuse) sera réalisée avant le début du traitement, après 3 cures de traitement (seul un CT scan sera réalisé) et 4 semaines après la dernière dose administrée. - Une visite clinique pour l’évaluation du suivi sera faite tous les 3 mois pendant la première année, tous les 4 mois pendant la deuxième année et tous les 6 mois par la suite pendant au moins 6 ans. Pour déterminer la tolérance les évaluations suivantes seront faites : - L’examen clinique (incluant les signes vitaux, indice de performance (OMS)) et les tests de laboratoire (incluant numération formule sanguine, biochimie sérique) devront être obtenus avant l’administration du médicament, avant chaque cure de traitement et 4 semaines après la dernière administration du traitement à l’étude. - Un électrocardiogramme sera réalisé pour mesurer l’intervalle QT, au jour 1 de chaque cure de Ro-CHOP, avant la perfusion de romidepsine et si possible après la prémédication antiémétique à l’évaluation de la réponse à la fin du traitement, en cas de problèmes cardiaques, de signes cliniques évoquant des troubles du rythme cardiaque ou en cas de valeurs biologiques anormales pour évaluer la toxicité cardiaque. De plus, la numération formule sanguine sera obtenue aux jours 8, 10 et 14 pour tous les patients.

Essai clos aux inclusions